Mais encore faut-il que vous soyez disponible.

-E, -es, -e, -ions, -iez, -ent

Ils se terminent par -e, sauf le verbe être.

Il faut que j’aie de la patience. Il faut qu’il envoie le mail.

-ions, -iez

Il faut que nous envoyions un mail.

Il est composé de l’auxiliaire être ou avoir au subjonctif présent suivi du participe passé du verbe.

Il marque l’antériorité ou l’aspect accompli du verbe.

J’attends qu’il soit parti.

Que le meilleur gagne !

Qu’il nous rejoigne rapidement.

Que tu conduises ma voiture !

Il faut que vous partiez.

Je regrette qu’ils soient là.

Souvent après jusqu’à ce que, avant que, pour que, avant que, bien que, quoique…

Je ne crois pas que ce soit le bon moment pour agir.

Je cherche un appareil qui prenne peu de place.

Le meilleur film qu’on ait jamais vu !

Il existe à la forme négative.

Il n’existe qu’à trois personnes :

Rentre avant midi.

Restons calmes. Dites-moi.

Il a les mêmes formes que le subjonctif passé, sans le que et le pronom sujet.

La deuxième personne du singulier de l’impératif = la première personne du singulier de l’indicatif.

Je finis -> Finis tes petits pois !

J’ouvre la porte -> Ouvre la porte !

Aie, sois

Va

Ils se placent après le verbe avec un trait d’union.

Téléphonez-nous.

Un impératif terminé par une voyelle est suivi du pronom en ou y, on ajoute un s à la terminaison pour éviter l’hiatus (= la rencontre des deux voyelles).

Cueilles-en. Gardes-en.

Les pronoms se placent avant le verbe.

Ne le regardez pas. Ne leur faites pas confiance.

Dis-le-moi. (COD + COS)

Ne me le dis pas ( COS + COD)

L’ordre est inversé

Ne le lui dis pas. Ne le leur dis pas. (COD+ COS)

Mode pour exprimer des faits ou des états dont on veut indiquer la réalité.

Le présent, l’imparfait, le passé simple, le futur simple. Ils sont formés d’un seul mot. La terminaison, appelée désinence, indique à quel temps le verbe est employé.

-        Le passé composé, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur antérieur.

-        Ils sont composés de l’auxiliaire être ou avoir conjugué à l’un des temps simples + participe passé du verbe.

Ils situent les faits dans le présent, le passé ou le futur par rapport au moment où l’on parle. Ils sont des temps absolus.

Ils sont employés avec d’autres temps. On les appelle des temps relatifs. Ils situent l’action.

Il correspond au présent.

Les touristes japonais repartent satisfaits quand ils ont visité le musée.

Il correspond à l’imparfait.

Habituellement, les touristes japonais quittaient Paris une fois qu’ils avaient visité le musée.

Il correspond au passé simple.

Les touristes prolongèrent leur séjour après qu’ils eurent visité le musée.

Il correspond au futur simple.

Quand ils quitteront Paris, les touristes japonais auront visité la plupart des musées.

Ils traduisent l’aspect inaccompli (= non achevé) du fait.

Présent, imparfait, futur simple.

Ils traduisent l’aspect accompli (= achevé) du fait.

Passé composé, plus-que-parfait, futur antérieur.

On les qualifie de modes personnels car il s’agit de modes dans lesquels le verbe conjugué varie selon les personnes.

Il indique une action, un état dans la réalisation est tenue pour certaine, même si elle est niée. On l’appelle, pour simplifier, le mode du réel.

Papa fait du chocolat.

Il sert à exprimer le souhait, le doute, la supposition, l’attente, la crainte… C’est le mode de l’incertain.

Ce serait bien que papa fasse du chocolat.

Il indique une action ou un état envisagés par la pensée. C’est le mode de l’incertain.

Avec de meilleurs produits, papa ferait un très bon chocolat.

Il indique une action, un état, commandés ou conseillés. Il sert aussi à exprimer la prière, le souhait… On l’appelle le mode de l’ordre.

Papa, s’il te plait, fais du chocolat.

On les qualifie de non personnels car il s’agit de modes dans lesquels le verbe ne présente pas de variations en personne.

Il permet de nommer une action ou un état comme le ferait un nom.

Faire du chocolat, c’est le rêve de papa.

Il complète le verbe comme un adjectif ou une proposition relative.

Papa faisant du chocolat, c’est si beau à voir.

Il complète le verbe comme un adverbe ou un CC.

En faisant du chocolat, papa amuse mon petit frère.

On rajoute un mot vide de sens à la phrase dans l’unique but de sonner mieux à l’oreille.

J’ai revu ceux à qui l’on parlait hier.